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Roger IDIART sur BFM Business

Publié le

30/9/2021

par

Amélie .M

dans

Métiers

Pour Roger IDIART, « la transformation numérique n’est plus une option elle passe par l’adoption des nouveaux usages par les utilisateurs ». Invité sur le plateau de BFM Business, il explique comment IZENCIA accompagne les entreprises dans leur transformation numérique, et évoque ainsi les clés pour la réussir.

Loïc LANDRAU

En tant que dirigeant ou Manager, vous le savez mieux que personne, l’informatique au quotidien, ça peut vite devenir une source de difficultés. Les bugs sur les postes de travail, les serveurs saturés, les fichiers qui disparaissent sans savoir où ils sont. Puis les messageries aussi, qui ne reçoivent plus ou n’envoient plus rien, sans qu’on sache non plus pourquoi. Voilà quelques exemples de ce qui peut réellement freiner la productivité d’une entreprise. Nous allons en parler avec Roger IDIART, directeur associé d’izencia. Alors, vous vous définissez comme un diffuseur de sérénité numérique. Je le dis doucement parce que cette notion de sérénité, c’est quand même ambitieux d’afficher ça comme ça. C’est accrocheur aussi, mais est-ce que c’est vrai ? Et comment ça se matérialise ?

Roger IDIART

Alors aujourd’hui dans l’entreprise, l’utilisateur informatique est soumis à une vraie tempête numérique. Alors, source d’amélioration dans son travail quotidien, mais également source de difficultés. Les vieux outils du 20ème siècle que sont les sites Web et le mail ne sont plus les seuls outils à disposition des entreprises. Il y a de nouveaux outils très innovants. Pour notre part, nous travaillons avec les services de Microsoft Office 365. Mais ces nouveaux outils impliquent des transformations dans les usages informatiques et dans les pratiques informatiques. Et c’est là où nous intervenons. Nous izencia, nous sommes une société centrée sur les utilisateurs. On doit les aider à adopter ces nouvelles technologies. On doit humaniser le numérique. Et donc le technicien de d’izencia doit accompagner les utilisateurs dans ces nouveaux usages informatiques qui lui sont proposés, voire imposés. Et par son goût des usages, le technicien d’izencia doit être diffuseur de sérénité numérique.

Loïc LANDRAU

Alors, en fin d’année 2019, vous avez changé de nom. Alors, est-ce qu’il s’agit juste d’un changement d’identité ou est-ce que vous avez aussi fait évoluer vos services ?

Roger IDIART

C’est les deux. La société a été créée en 2011 sous le nom de Quantic Support. Notre réflexion a porté sur la création d’un nouveau service qui s’appelle Serenitech, à destination des TPE et des PME pour les aider dans leur transformation numérique, justement avec Office 365. Et puis notre travail, c’est porté plus loin sur une réflexion, sur quelle est notre proposition de valeur. Donc qui est diffuseur de sérénité numérique. Mais pour porter cette ambition, on a senti le besoin de changer de nom, d’avoir une vraie notion de marque, d’où le nom d’izencia. Vous remarquerez que c’est un nom plutôt porté sur l’empathie, sur l’humain.

Loïc LANDRAU

Ah bah il y a « zen » dedans, d’où la sérénité.

Roger IDIART

On ne retrouve pas des notions de IT, Cloud, Net, Tech, etc. On n’est pas une société de geeks, on est une société portée vers les utilisateurs. On est là pour humaniser le numérique.

Loïc LANDRAU

Alors justement, qu’est ce qui fait défaut aux entreprises aujourd’hui en terme numérique ?

Roger IDIART

Alors, je vais vous parler des TPE et des PME. Un sujet que je connais à travers notre offre Serenitech. Il leur manque principalement deux aspects. Le premier, c’est la prise de conscience par le dirigeant que la transformation numérique est en cours. Rien ne sert de résister. Se dire c’était mieux avant ? Non, au contraire, il vaut mieux être acteur de sa transformation numérique. Surtout que la transformation numérique n’est pas un projet qui doit être fini fin juin, en fin d’année. Non, c’est un processus, c’est une stratégie de changement, c’est long, donc il faut le maîtriser. Le deuxième aspect, une fois qu’on s’est lancé là-dedans, c’est le manque de formation et d’accompagnement des utilisateurs.

Loïc LANDRAU

Parce qu’il n’y a pas le temps, les trois quarts du temps. C’est ça ?

Roger IDIART

Il faut le trouver. Un projet de transformation numérique n’est réussi que s’il est adopté par les utilisateurs.

Loïc LANDRAU

C’est ça. Et bien écoutez, merci beaucoup Roger IDIART, directeur associé d’izencia, qui diffuse de la sérénité numérique. A très vite sur BFM Business.

Merci.